• accompagnement personnes handicapées

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    NOS ENGAGEMENTS
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    Les avantages de APHIA: Aucune démarche administrative. APHIA est l’employeur. Ainsi, elle effectue toutes les démarches administratives, notamment concernant les dossiers de prise en charge. Une responsabilité civile. APHIA assure ses salariés et décharge ainsi les familles de toute responsabilité. Un personnel rigoureusement sélectionné. APHIA porte une attention particulière au recrutement. Satisfaction des bénéficiaires. Tout est mis en œuvre pour satisfaire l’usager. En cas d’éventuel conflit ou malentendu avec un intervenant, un responsable rendra visite au bénéficiaire (ou sa famille) et s’engagera à remédier au problème dans les plus brefs délais. Un numéro direct vous sera communiqué pour réagir au plus vite.

    Article 1 : Principe de non-discrimination

    Dans le respect des conditions particulières de prise en charge et d’accompagnement, prévues par la loi, nul ne peut faire l’objet d’une discrimination en raison de son origine, notamment ethnique ou sociale, de son apparence physique, de ses caractéristiques génétiques, de son orientation sexuelle, de son handicap, de son âge, de ses opinions et convictions, notamment politiques ou religieuses, lors d’une prise en charge ou d’un accompagnement, social ou médico-social.

    Article 2 : Droit à une prise en charge ou à un accompagnement adapté

    La personne doit se voir proposer une prise en charge ou un accompagnement individualisé et le plus adapté possible à ses besoins, dans la continuité des interventions

    Article 3 : Droit à l’information

    La personne, bénéficiaire des prestations ou des services, a droit à une information claire, compréhensible et adaptée sur la prise en charge et l’accompagnement demandés ou dont elle bénéficie, ainsi que ses droits, de la forme de prise en charge ou d’accompagnement. La personne doit également être informée sur les associations d’usagers ouvrant dans le même domaine. La personne a accès aux informations la concernant dans les conditions prévues par la loi ou la règlementation. La communication de ces informations ou documents par les personnes habilitées à les communiquer en vertu de la loi s’effectue avec un accompagnement adapté de nature pathologique, médicale, thérapeutique ou socio-éducative.

    Article 4 : Principe de libre choix, du consentement éclairé et de la participation de la personne.

    Dans le respect des dispositions légales, des décisions de justice ou des mesures de protection judiciaire ainsi que des décisions d’orientation : 1 – La personne dispose du libre choix entre les prestations adaptées qui lui sont offertes soit dans le cadre d’un service à domicile, soit dans le cadre de tout mode d’accompagnement ou de prise en charge. 2 – Le consentement éclairé de la personne doit être recherché en l’informant, par tous les moyens adaptés à sa situation, des conditions et conséquences de la prise en charge et de l’accompagnement, et en veillant à sa compréhension. 3 – Le droit à la participation directe, ou avec l’aide de son représentant légal, à la conception et à la mise en œuvre du projet d’accueil et d’accompagnement qui la concerne lui est garanti. Lorsque l’expression par la personne d’un choix ou d’un consentement éclairé n’est pas possible en raison de son incapacité, ce choix ou ce consentement est exercé par la famille ou son représentant légal auprès de l’établissement, du service ou dans le cadre des autres formes de prise en charge et d’accompagnement. Ce choix ou ce consentement est légalement effectué par le représentant légal lorsque l’état du bénéficiaire ne lui permet pas de l’exercer directement. La personne peut être accompagnée de la personne de son choix lors des démarches nécessitées par la prise en charge ou l’accompagnement.

    Article 5 : Droit à la renonciation

    Le bénéficiaire peut à tout moment renoncer par écrit aux prestations dont elle bénéficie ou en demander le changement dans les conditions de capacités, d’écoute et d’expression ainsi que de communication prévues par la présente charte, dans le respect des décisions de justice ou mesures de protection judiciaire, des décisions d’orientation et des procédures de révision existantes en ces domaines

    Article 6 : Droit au respect des liens familiaux

    La prise en charge ou l’accompagnement doit favoriser le maintien des liens familiaux et tendre à éviter la séparation des familles prises en charge, dans le respect des souhaits de la personne, de la nature de la prestation dont elle bénéficie et des décisions de justice.

    Article 7 : Droit à la protection

    Il est garanti à la personne comme à ses représentants légaux et à sa famille, par l’ensemble des personnels ou personnes réalisant une prise en charge ou un accompagnement, le respect de la confidentialité des informations la concernant dans le cadre des lois existantes.

    Article 8 : Principe de prévention et de soutien

    Les conséquences affectives et sociales qui peuvent résulter de la prise en charge ou de l’accompagnement doivent être prises en considération. Il doit en être tenu compte dans les objectifs individuels de prise en charge et d’accompagnement. Les moments de fin de vie doivent faire l’objet de soins, d’assistance et de soutien adaptés dans le respect des pratiques religieuses ou confessionnelles et convictions tant de la personne que de ses proches ou représentant.

    Article 9 : Droit à la pratique religieuse

    Les conditions de la pratique religieuse, y compris la visite des représentants des différentes confessions, doivent être facilitées, sans que celles-ci puissent faire obstacle aux missions des établissements ou services. Les personnels et les bénéficiaires s’obligent à un respect mutuel des croyances, convictions et opinions. Ce droit à la pratique religieuse s’exerce dans le respect de la liberté d’autrui et sous réserve que son exercice ne trouble pas le fonctionnement normal des établissements et services.

    Article 10 : Respect de la dignité de la personne et de son intimité

    Le respect de la dignité et de l’intégrité de la personne est garanti. Hors la nécessité exclusive et objective de la réalisation de la prise en charge ou de l’accompagnement, le droit à l’intimité doit être préservé.

    CHARTE QUALITE DES INTERVENANTS APHIA

    Toute personne a le droit au respect quels que soient sa situation, son état de santé physique ou psychique, son niveau d’intégration sociale. APHIA est attentive aux problèmes de maltraitance, aux situations pouvant mettre en danger physique ou psychologique les personnes. Elle veille à la prévention de ces situations et réalise un signalement lorsque nécessaire selon des dispositions prévues et communique auprès des organismes ou autorités ayant compétence pour recevoir ces informations.

    RESPECT DE LA PERSONNE

    Une attitude générale de respect impliquant réserve et discrétion, pour tout membre de la structure et à tout moment de la prestation de service. Ce principe se décline en prenant en compte tout l’éventail des droits de l’usager en application avec la charte des droits et libertés de la personne âgée (annexée) : le respect de la personne, de ses droits fondamentaux, le respect de ses biens, le respect de son espace de vie privée, de son intimité, le respect de sa culture et de son choix de vie.

    INFORMATION DÉTAILLÉE

    APHIA remet à la personne: Un livret d’accueil, les tarifs des différentes prestations, un devis gratuit détaillé dans lequel figure le coût horaire (simple et majoré) des interventions, l’ensemble des coûts y compris les frais d’adhésion ou de dossier, un contrat de prestation, une facturation lisible et claire, la liste des personnes qualifiées en cas de conflit. Elle informe la personne sur les aides financières potentielles extérieures dont elle peut bénéficier et estime le reste à charge le cas échéant. Elle donne les coordonnées de l’interlocuteur chargé du suivi de la situation.

    PRESTATION INDIVIDUALISÉE

    Un représentant de APHIA examine la demande d’intervention, analyse les besoins et les attentes explicites ou implicites de la personne lors d’une visite à domicile (sauf exceptionnellement en cas d’urgence). Il étudie la «faisabilité» de celle-ci. S’il ne peut y répondre de manière adaptée et coordonnée, totalement ou partiellement, il oriente la personne vers un d’autres organismes de proximité avec lesquels il a établi des collaborations de proximité.

    S’il peut y répondre, il propose un plan d’intervention. En cas d’attribution d’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) ou de Prestation de Compensation du Handicap (PCH), il reprend les préconisations des plans d’aide (nombre d’heures, horaires et nature des prestations).

    Un responsable de APHIA présente à la personne aidée la ou les personnes qui interviendront à son domicile après avoir vérifié au préalable leurs aptitudes et compétences.

    CONTINUITÉ DES INTERVENTIONS

    APHIA garantit la continuité des interventions en assurant le remplacement des intervenants habituels pendant les congés ou arrêts maladie. Il propose de nouveaux intervenants.

    SUIVI INDIVIDUALISÉ DES INTERVENTIONS

    La personne aidée ou les aides à domicile peuvent joindre APHIA par l’intermédiaire d’un interlocuteur désigné ou de son remplaçant pendant l’amplitude horaire de l’ensemble des interventions. APHIA apporte une réponse aux difficultés rencontrées.
    APHIA assure le suivi des interventions: En lien avec les autres intervenants, grâce notamment à la tenue d’un cahier de liaison, Avec une réactualisation à domicile au moins une fois par an et chaque fois que la situation le justifie, En collaboration avec les référents sociaux APA du Conseil Départemental et PCH de la Maison Départementale des Personnes Handicapées pour un suivi régulier des interventions.

    INFORMATION ET SOUTIEN DU PERSONNEL INTERVENANT À DOMICILE

    APHIA s’assure de la bonne connaissance et compréhension des règles déontologiques, des tâches à accomplir et des protocoles par les aides à domicile.
    APHIA associe les aides à domicile au suivi des situations. Il assure aux intervenants une formation continue adaptée aux besoins spécifiques des personnes aidées.

    RESPECT DES PLANS D’AIDE

    APHIA respecte la nature, la fréquence et les horaires des prestations définis dans les plans d’aide APA ou PCH. En cas d’impossibilité ou de modification significative, il prévient la personne aidée, le référent social et le service d’Aide sociale du Conseil général le cas échéant.

    LES INTERVENANTS DE APHIA S'ENGAGENT A:

    A ne pas recevoir des usagers ou clients, toute délégation de pouvoir sur les avoirs, biens ou droits, toute donation, tout dépôt de fonds, bijoux ou valeurs,
    A signaler immédiatement à la direction de APHIA tout risque matériel, physique ou de maltraitance de la personne aidée ainsi que les changements pouvant survenir dans son état de santé, son comportement, son hygiène…,
    A préserver l’autonomie des personnes aidées et les encourager à accomplir des taches de la vie quotidienne,
    A veiller à la qualité de leur présentation physique (tenue…),
    A être aimables, courtois, ponctuels et à informer de tout retard éventuel et exceptionnel,
    A respecter l’interdiction de fumer, de boire des boissons alcoolisées au domicile des personnes aidées, de travailler sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool et de recevoir des membres de sa famille ou des amis pendant les interventions,
    A ne pratiquer aucun acte paramédical et à ne pas manipuler les personnes hospitalisées à domicile sans détenir la qualification requise,
    En cas de détention de clés du domicile de la personne aidée, avec son accord préalable et écrit, de ne pas les confier à aucun tiers que ce soit ou de ne les utiliser que dans le cadre d’un usage professionnel,
    A ne pas utiliser les appareils de communication de la personne aidée (téléphone, Internet…) à des fins personnelles,
    A participer à la relation entre le bénéficiaire, la famille, le service et les autres relais des bénéficiaires.

    Article I

    - Choix de vie Toute personne âgée dépendante garde la liberté de choisir son mode de vie.

    Article II

    - Domicile et environnement Le lieu de vie de la personne âgée dépendante, domicile personnel ou établissement, doit être choisi par elle et adapté à ses besoins.

    Article III

    - Une vie sociale malgré les handicaps Toute personne âgée dépendante doit conserver la liberté de communiquer, de se déplacer, et de participer à la vie de la société.

    Article IV

    - Présence et rôle des proches Le maintien des relations familiales et des réseaux amicaux est indispensable aux personnes âgées dépendantes.

    Article V

    - Patrimoine et revenus Toute personne âgée dépendante doit pouvoir garder la maîtrise de son patrimoine et de ses revenus disponibles.

    Article VI

    - Valorisation de l’activité Toute personne âgée dépendante doit être encouragée à conserver des activités.

    Article VII

    - Liberté de conscience et pratique religieuse Toute personne âgée dépendante doit pouvoir participer aux activités religieuses ou philosophiques de son choix.

    Article VIII

    - Préserver l’autonomie et prévenir La prévention de la dépendance est une nécessité pour l’individu qui vieillit.

    Article IX

    - Droit aux soins Toute personne âgée dépendante doit avoir, comme toute autre, accès aux soins qui lui sont utiles.

    Article X

    - Qualification des intervenants Les soins que requiert une personne âgée dépendante doivent être dispensés par des intervenants formés, en nombre suffisant.

    Article XI

    - Respect de la fin de vie Soins et assistance doivent être procurés à la personne âgée en fin de vie et à sa famille.

    Article XII

    - La recherche : une priorité et un devoir La recherche multidisciplinaire sur le vieillissement et la dépendance est une priorité.

    Article XIII

    - Exercice des droits et protection juridique de la personne Toute personne en situation de dépendance doit voir protégés non seulement ses biens mais aussi sa personne.

    Article XIV

    - L’information, meilleur moyen de lutte contre l’exclusion L’ensemble de la population doit être informé des difficultés qu’éprouvent les personnes âgées dépendantes.

    Extrait du décret n°2010/356 du 1er avril 2010) Article premier Objet

    Promouvoir, protéger et assurer la pleine et égale jouissance de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales par les personnes handicapées et promouvoir le respect de leur dignité intrinsèque. Par personnes handicapées on entend des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles durables dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres.

    Article 3 : Principes généraux

    Les principes de la présente Convention sont :
    Le respect de la dignité intrinsèque, de l’autonomie individuelle, y compris la liberté de faire ses propres choix, et de l’indépendance des personnes ;

    La non-discrimination ;
    La participation et l’intégration pleines et effectives à la société ; Le respect de la différence et l’acceptation des personnes handicapées comme faisant partie de la diversité humaine et de l’humanité ; L’égalité des chances ; L’accessibilité ; L’égalité entre les hommes et les femmes ; Le respect du développement des capacités de l’enfant handicapé et le respect du droit des enfants handicapés à préserver leur identité.

    Article 5 : Égalité et non-discrimination

    Toutes les personnes sont égales devant la loi et en vertu de celle-ci et ont droit sans discrimination à l’égale protection et à l’égal bénéfice de la loi. Les États interdisent toutes les discriminations fondées sur le handicap et garantissent aux personnes handicapées une égale et effective protection juridique contre toute discrimination, quel qu’en soit le fondement.

    Afin de promouvoir l’égalité et d’éliminer la discrimination, les États prennent toutes les mesures appropriées pour faire en sorte que des aménagements raisonnables soient apportés.

    Article 10 : Droit à la vie

    Les États réaffirment que le droit à la vie est inhérent à la personne humaine et prennent toutes mesures nécessaires pour en assurer aux personnes handicapées la jouissance effective, sur la base de l’égalité avec les autres.

    Article 17 : Protection de l’intégrité de la personne

    Toute personne handicapée a droit au respect de son intégrité physique et mentale sur la base de l’égalité avec les autres.

    Article 19 : Autonomie de vie et inclusion dans la société

    Les États reconnaissent à toutes les personnes handicapées le droit de vivre dans la société, avec la même liberté de choix que les autres personnes, et prennent des mesures efficaces et appropriées pour faciliter aux personnes handicapées la pleine jouissance de ce droit ainsi que leur pleine intégration et participation à la société, notamment en veillant à ce que :

    Les personnes handicapées aient la possibilité de choisir, sur la base de l’égalité avec les autres, leur lieu de résidence et où et avec qui elles vont vivre et qu’elles ne soient pas obligées de vivre dans un milieu de vie particulier ; Les personnes handicapées aient accès à une gamme de services à domicile ou en établissement et autres services sociaux d’accompagnement, y compris l’aide personnelle nécessaire pour leur permettre de vivre dans la société et de s’y insérer et pour empêcher qu’elles ne soient isolées ou victimes de ségrégation ; Les services et équipements sociaux destinés à la population générale soient mis à la disposition des personnes handicapées, sur la base de l’égalité avec les autres, et soient adaptés à leurs besoins.

    Article 20 : Mobilité personnelle

    Les États prennent des mesures efficaces pour assurer la mobilité personnelle des personnes handicapées, dans la plus grande autonomie possible, y compris en :
    a) Facilitant la mobilité personnelle des personnes handicapées selon les modalités et au moment que celles-ci choisissent, et à un coût abordable ;
    b) Facilitant l’accès des personnes handicapées à des aides à la mobilité, appareils et accessoires, technologies d’assistance, formes d’aide humaine ou animalière et médiateurs de qualité, notamment en faisant en sorte que leur coût soit abordable ;
    c) Dispensant aux personnes handicapées et aux personnels spécialisés qui travaillent avec elles une formation aux techniques de mobilité ;
    d) Encourageant les organismes qui produisent des aides à la mobilité, des appareils et accessoires et des technologies d’assistance à prendre en compte tous les aspects de la mobilité des personnes handicapées.

    Aphia aide a domicile

    NOS PARTENAIRES

    Aphia aide a domicile

    APHIA, entreprise autorisée en 2016 par le Président du Conseil départemental de la Seine Saint Denis suivant la loi ASV n°2015-1776 du 28 décembre 2015